Expo « Bouffée d'air » d'Irène Ku & Alexander Kudriavchenko

Description

La possibilité de faire de l'art est une bouffée d'air frais pour les artistes. Et il en a toujours été ainsi.Les artistes peignent même quand il y a la guerre, même quand il y a la souffrance. Les écrivains et les musiciens ne sont pas silencieux...Parce que c'est notre façon de parler. Nous ne créons pas de décor, mais nous parlons au monde à notre manière. Nous disons que nous ne sommes pas brisés, même si nous sommes déprimés.Une bouffée d'air frais, c'est aussi l'aide de personnes en Belgique et en Pologne qui nous ont protégés dans les moments difficiles, grâce auxquelles nous pouvons peindre maintenant, grâce à chaque minute.Une bouffée d'air frais, c'est la liberté qui nous entoure en Belgique. La liberté d'autodétermination pour laquelle l'Ukraine se bat depuis 300 ans est la plus grande joie. La perdre, c'est comme perdre la possibilité de respirer de l'air frais dans un sous-sol fermé où nous nous cachions des bombardements.L'exposition présentera des peintures, des illustrations, des objets - la plupart créés par Alexander et Irène, lors de leur séjour en Belgique. Dans leurs œuvres, ils réfléchissent aux thèmes de la vie qui a radicalement changé pour eux après le 24 février 2022. Il y aura également une série de portraits sous le titre général "Cassandra" par Irene Ku et des affiches.Enfin, sachez que les artistes ont choisi de reverser 30% des bénéfices de la vente des œuvres à la fondation Ukrainienne : “Come Back Alive”.En savoir plus sur l'expo : https://www.montdepiete.be/expo-bouffee-d-air

Date info

Mardi: de 10:00 à 16:00. Samedi: de 11:00 à 16:00. Dimanche: de 11:00 à 16:00. Du 23 septembre au 9 octobre

1 Picture

Suggested events

Lors de l'exposition de Éric Luc MAQUET, Envol onirique, du 29/03 au 4/05 à la galerie Marc Minjauw à Bruxelles, le week-end du 20 et du 21 avril, Éric Luc MAQUET sera présent à la galerie les deux jours de 15H à 18H pour rencontrer les visiteurs et les collectionneurs et partager avec eux, le verre de l’amitié. Chaque visiteur recevra le catalogue édité pour l'exposition.
La nouvelle édition du Parcours d'artistes se déclinera autour d’une thématique simple et essentielle, intitulée « Ce qui nous lie ».En plus de ses œuvres sur toile, l'artiste dévoilera des épreuves petits formats de la série “Nuits blanches” exposées à la station de métro Porte de Hal à Bruxelles.Natacha Mercier présentera dans son atelier des nouvelles œuvres « presque-monochrome » sur toiles issues de sa thématique autour du nocturne dans le paysage et le portrait."Au fond, Natacha Mercier nous invite à une expérience phénoménologique de l’apparaître des images. Nimbées d’une sorte d’aura de lumière, l’artiste donne naissance à des apparitions évanescentes qui ne cessent de se constituer sous nos yeux. Le jeu des glacis et des entrelacs des plans induit une relation toute particulière avec la lumière et les données sensibles, spatiales et concrètes de l’espace réel. Dans cette articulation entre l’image qui surgit du fond et la lumière qui inonde la couche de vernis mat en surface, nous sommes "devant le temps", comme aurait pu dire Georges Didi-Huberman. C’est dans un rapport à la durée de contemplation que l’image se révèle peu à peu. (...) C’est dans un entrelacement du temps et de l’espace, un chiasme de la surface et de la profondeur, que l’œuvre de Natacha Mercier s’offre à nous." Texte de Jérôme Carrié (F), 2021.Natacha dévoilera également quelques œuvres préparatoires des portraits des travailleur-euses de nuit de la Stib et Bruxelles Mobilité avec qui elle a collaboré pour cette commande. Elle a souhaité rendre visible ce monde invisible pour le grand public, offrant ainsi une reconnaissance bien méritée à ces professions souvent méconnues."Les portraits présentés ici, « Nuits blanches », offrent une modulation particulière. Les travailleurs de nuit saisis par l’appareil-photo, homme comme femme, à parité, sont représentés seuls, à titre d’individu. Leur pose, non héroïsée, valorise l’intériorité.Retravaillées avec subtilité informatiquement, ces photographies semblent des peintures. L’artiste, qui les a pesées avec minutie, s’y adonne à la technique du clair-obscur dans la grande tradition de ce genre pictural. Son souci constant est d’installer dans le cadre des corps vivants, respectables, incarnés, impliqués dans leur tâche mais aussi soucieux d’eux-mêmes, en évitant l’idéalisation.Extrait du texte « Nuits Blanches » de Paul Ardenne, écrivain et historien de l’art français, 2024.Les visiteurs seront invités à aller découvrir la série « Nuits blanches » composée de dix portraits sur les quais de la station Porte de Hal (ligne 2-6) suite à la visite d'atelier.
********** Français ********** Carte de Visite | ARTopenKUNST veut révéler le foisonnement créatif des artistes amateur.e.s et professionnel.le.s domicilié.e.s ou ayant leur atelier sur le territoire de la Ville. Cet événement est, pour certain.e.s, l’occasion d’exposer pour la première fois leur travail au public. Outre cet objectif de soutien à la création, amateure ou confirmée, Carte de Visite | ARTopenKUNST permet aux artistes, dans une ambiance conviviale, de faire la connaissance d’autres créateurs.trices et de rencontrer un nouveau public. L’entrée à l’exposition est gratuite et les visiteurs pourront admirer des travaux utilisant diverses techniques telles que : collages, textiles, installations, dessins, peintures, photographies, projections, sculptures, sérigraphies, joaillerie et techniques mixtes. ********** Nederlands ********** Carte de Visite| ARTopenKUNST wil het creatieve talent in de verf zetten van amateurs en professionele kunstenaars die wonen in de hoofdstad of die er hun atelier hebben. Het is voor sommigen een kans om voor het eerst hun werk te tonen. Carte de Visite| ARTopenKUNST ondersteunt het werk van amateurkunstenaars of professionals maar kunstenaars kunnen er ook andere creatieve geesten leren kennen en het publiek ontmoeten. Dit alles in een aangename sfeer. De tentoonstelling bezoeken is gratis en de bezoekers kunnen er heel verschillende werken ontdekken: gemengde technieken, collages, juwelen, textielwerken, installaties, tekeningen, schilderijen, foto’s, projecties, beeldhouwwerken en zeefdrukken.
********** English ********** GLUON presents Checkin’ Each Other Out, an artistic project by Belgian artist Jerry Galle. The show is the first exhibition in a series showcasing the results of Gluon’s residency collaboration and focuses on Galle’s most recent work, developed during a residency at Belgian research centre Flanders Make, hosted by Gluon. On Saturday 20 April, we will open the expo with a keynote by Darian Meacham (technology philosopher) and panel discussion with Jerry Galle and Marc Engels (COO Flanders Make). Welcome! Checkin’ Each Other Out is a project that questions our understanding of `intelligence’. Through interaction between humans, robots and living organisms, Galle aims to explore alternative forms of intelligence to suggest a broader spectrum of `smart’. Artificial intelligence (AI) constitutes one of these emerging intelligences. At the same time, there is also growing recognition of non-human intelligences in other living organisms such as octopuses and mycelium, which exhibit unique forms of ‘intelligence’. To encourage a shift in perspective, Galle suggests to embrace new approaches that recognise the complexity of intelligence in all its forms. According to Galle, it is crucial to consider robots and artificial intelligence not merely as subordinate entities, but as autonomous subjects. Should we emphasize fostering collaboration and promoting a sense of shared agency and mutual commitment? It is essential to ask questions that explore subjective experiences; such as “What is it like to be you?” rather than sticking to the comparative, binary question “Are you like us?”. The installation by Belgian artist Jerry Galle, features a collaborative robot (cobot), glass sculptures and an AI-ecosystem, embodies the uncertain interplay among all living organisms and technology. More info: https://gluon.be/art-and-research/16279/jerry-galle/ OPENING PROGRAM Saturday 20 april 2024, 16:00 - 20:00 More info: https://gluon.be/art-and-research/16249/checkin-each-other-out-2/ VISITING HOURS Open every Saturday, 11:00 - 18:00 Monday - Friday (by appointment only via noah@gluon.be) During Art Brussels, the expo will be exceptionally open from 24 - 29 April, 11:00 - 18:00 GLUON - Slachthuisstraat 4-6, 1000 Brussels ********** Français ********** GLUON présente Checkin’ Each Other Out, un projet de l’artiste belge Jerry Galle. L’exposition est la première d’une série présentant les résultats du programme de résidence de Gluon et se concentre sur les oeuvres les plus récentes de Galle, développées lors d’une résidence au centre de recherche belge Flanders Make, accueilli par Gluon. Le samedi 20 avril, nous ouvrirons l’exposition avec une conférence de Darian Meacham (philosophe de la technologie) et une table ronde avec Jerry Galle et Marc Engels (COO Flanders Make). Bienvenue à tous! Checkin’ Each Other Out est un projet artistique qui interroge notre compréhension de “l’intelligence”. A travers l’interaction entre humain, robot et organismes vivants, Galle vise à explorer des formes alternatives d’intelligence afin de présenter un spectre plus large de la notion de “smart” (intelligent). L’intelligence artificielle (IA) constitue l’une de ces intelligences émergentes. Parallèlement, on reconnaît de plus en plus l’existence d’intelligences non-humaines dans d’autres organismes vivants tels que les pieuvres et le mycelium, qui présentent des formes uniques d’intelligence. Pour encourager un changement de perspective, Galle estime qu’il est important d’adopter de nouvelles approches qui reconnaissent la complexité de l’intelligence sous toutes ses formes. Selon lui, il est essentiel de considérer les robots et l’intelligence artificielle non pas comme de simples entités subordonnées, mais comme des sujets autonomes. Devrions-nous mettre l’accent sur la stimulation de la collaboration et la création d’un sentiment d’agence partagée et d’engagement mutuel ? Il est essentiel de poser des questions qui explorent les expériences subjectives, telles que “Comment est-il d’être vous ?” plutôt que de s’en tenir à la question comparative et binaire “Êtes-vous comme nous?”. Plus d'info: https://gluon.be/fr/art-et-recherche/16400/checkin-each-other-out-4/ OUVERTURE Samedi 20 avril 2024, 16:00 - 20:00 heures Plus d'info: https://gluon.be/fr/art-et-recherche/16410/ouverture-checkin-each-other-out/ HEURES D’OUVERTURES 20 avril - 25 mai Chaque samedi de 11:00 à 18:00 Lundi - vendredi (uniquement sur rendez-vous via noah@gluon.be) Pendant Art Brussels l’exposition sera exceptionnellement ouverte du 24 - 29 avril, 11:00 - 18:00 GLUON - Rue de l’Abattoir 4-6, 1000 Bruxelles ********** Nederlands ********** GLUON presenteert Checkin’ Each Other Out, een project van de Belgische kunstenaar Jerry Galle. De expo is de eerste tentoonstelling in een reeks die de resultaten van Gluons residentiewerking toont en focust op het meest recente werk van Galle, ontwikkeld tijdens een een residentie bij het Belgische onderzoekscentrum Flanders Make, gehost door Gluon. Op zaterdag 20 april openen we de expo met een keynote door Darian Meacham (techniekfilosoof) en panelgesprek met Jerry Galle en Marc Engels (COO Flanders Make). Van harte welkom! Checkin’ Each Other Out is een artistiek project dat ons begrip van `intelligentie’ bevraagt. Via interactie tussen mens, robot en levende organismen wil Galle alternatieve vormen van intelligentie verkennen om een breder spectrum van ‘slim’ voor te stellen. Kunstmatige intelligentie (AI) vormt een van deze opkomende intelligenties. Tegelijkertijd is er ook groeiende erkenning voor niet-menselijke intelligenties in andere levende organismen zoals octopussen en mycelium, die unieke vormen van ‘intelligentie’ vertonen. Om een verschuiving in het perspectief te stimuleren, is het volgens Galle belangrijk om nieuwe benaderingen te omarmen die de complexiteit van intelligentie in al zijn vormen erkennen. Volgens Galle is het van cruciaal belang om robots en artificiële intelligentie niet louter te beschouwen als ondergeschikte entiteiten, maar als autonome subjecten. Moeten we de nadruk leggen op het stimuleren van samenwerking en het bevorderen van een gevoel van gedeelde agency en wederzijdse betrokkenheid? Het is van essentieel belang om vragen te stellen die subjectieve ervaringen onderzoeken; zoals “Hoe is het om jullie te zijn?” in plaats van vast te houden aan de vergelijkende, binaire vraag “Zijn jullie zoals ons?”. De installatie van de Belgische kunstenaar Jerry Galle, met een samenwerkende robot (cobot), glassculpturen en een AI-ecosysteem, belichaamt de onzekere wisselwerking tussen alle levende organismen en technologie. Meer info: https://gluon.be/nl/kunst-en-onderzoek/16103/jerry-galle/ OPENING Zaterdag 20 april 2024, 16:00 - 20:00 Meer info: https://gluon.be/nl/kunst-en-onderzoek/16153/checkin-each-other-out-3/ OPENINGSTIJDEN Elke Zaterdag van 11:00 tot 18:00 uur Maandag - vrijdag (enkel op afspraak via noah@gluon.be) Tijdens Art Brussels zal de expo uitzonderlijk open zijn van 24 - 29 april, 11:00 - 19:00 GLUON - Slachthuisstraat 4-6; 1000 Brussel
********** English ********** In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape through colour and organic materials, brought to life through both drawing (wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.). In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface. Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses. Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the paper. ABOUT THE ARTIST Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts (ENSAV La Cambre, Brussels, 2016). Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux, Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris, the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof and the Prix Carré sur Seine in 2020. From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture and photography, construction allows her to speak of the human being, the one who both inhabits and builds. In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection, confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading her increasingly towards projects in the public space. ********** Français ********** Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…). Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate, appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre, obstruer ou limiter ces étendues infinies. Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier. A PROPOS DE L’ARTISTE Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016). Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et du prix Carré sur Seine en 2020. De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain, celui qui, tout à la fois, habite et édifie. Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme l’amène également de plus en plus vers des projets dans l’espace public. ********** Nederlands ********** In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht. In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of andere manier deze oneindige uitgestrektheid. De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen. OVER DE KUNSTENARES Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016). Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020. Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Exposition collective témoignant de la volonté des artistes à se réapproprier le medium photographique lors de leur processus de création.Nicolas Andry (BE), Pepe Atocha (PE), Sylvie Bonnot (FR), Aliki Christoforou (BE), Dana Cojbuc(RO), Antoine De Winter (BE), Gundi Falk (AT), Marina Font (AR), Lior Gal (IL), Audrey Guttman(BE), Romane Iskaria (FR), Morvarid K (IR), Kíra Krász (HU), Douglas Mandry (CH), Alice Pallot(FR), Raphaëlle Peria (FR), Luc Praet (BE), Anys Reimann (DE), St
********** English ********** Works by german artists Doris Schälling and Jörg Enderle ********** Français ********** Expo avec des oeuvres des artistes allemand Doris Schälling and Jörg Enderle ********** Nederlands ********** Tentoonstelling met werken van de duitse kunstenaars Doris Schälling and Jörg Enderle
Vendredi 19 avril, dans le cadre de l’expo Cracked Perspective, on fête le premier Apéro de LaVallée de 2024 !!! Une soirée gratuite, aux sons punk / garage / post-punk / synth … TISH&TACHE débuteront la soirée juste avant le concert post-punk énergique des AMINOACIDCLUB. Les MILK ME, Djs de Berlin quant à eux clôtureront la soirée.
********** Français ********** Après la visite de l’exposition, place à l’action et à l’exploration du mystère au cœur de cinq espaces créatifs et immersifs ! Pendant que les enfants participent à cette visite-atelier, les parents ou adultes peuvent suivre la visite guidée ou la visite libre de l’exposition (tickets pour la visite libre ici). ********** Nederlands ********** Na het bezoek aan de tentoonstelling ontdekken we creatieve mogelijkheden, duiken we dieper in het mysterie en ontwikkelen onze eigen voorstelling ervan. Terwijl de kinderen een nieuwe wereld ontdekken tijdens de rondleiding met workshop, kunnen de volwassenen met een gids (info en tickets hier) of op eigen houtje (tickets) de tentoonstelling bezoeken.
Les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique inaugurent une exceptionnelle exposition itinérante internationale conçue en collaboration avec le Centre Pompidou (Paris).Une immersion dans la poésie surréaliste, à travers les thématiques du rêve, du labyrinthe, de la métamorphose, de l’inconnu et du subconscient, emmenée par les grands noms du surréalisme, de Giorgio De Chirico à Jackson Pollock, en passant par Salvador Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…