Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps
jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique
autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024.
C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael
Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules
disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les
moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de
Paris.
L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le
mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse
aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème,
ouverte à tous.
Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie
de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a
révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des
étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de
ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos
proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à
disposition dans l'exposition.
Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous
préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la
Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous
l'aurez deviné - des années 1980 !
Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la
Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
Entrée - Musée d'Orsay
07februari 2023
-26maart 2023
1 Rue De La Légion D'honneur, 75007 Paris, France
Description
Accès réservé PORTE A Attente possible au contrôle.Le billet donne accès aux collections permanentes et aux expositions en cours.Ouverture de 9h30 à 18h, tous les jours sauf le lundi. Evacuation à partir de 17h15.Gratuits (sur justificatif) : moins de 18 ans, 18/25 ans ressortissants de l'UE, étudiants en histoire de l'art, porteurs du Pass Education, personnes handicapées (et un éventuel accompagnateur) et demandeurs d'emploi.Le tarif "Enfant et compagnie" est proposé aux accompagnants (maximum 2 adultes) d'un jeune -18 ans (résident UE)Le musée est gratuit pour tous le 1er dimanche de chaque mois.Présentées dans une ancienne gare, les collections du musée d'Orsay présentent l'ensemble de la production artistique de 1848 à 1914, période décisive de l'histoire de l'Art d'où sont issus les chefs d'œuvres de l'impressionnisme. Vous admirerez ainsi les plus grands artistes : Manet, Degas, Monet, Renoir, Van Gogh, Gauguin, Courbet, ou encore les sculpteurs Carpeaux, Rodin et Maillol.Attention! Aucun retrait des billets n'est possible au musée d'Orsay. Le retrait s'effectue dans les magasins du réseau.Please note! Tickets cannot be collected at the Musée d'Orsay. They must be collected from the authorised outlets.
Tickets
Info:
- Standard - 17,70 €
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Suggested events
Le musée de l'Armée nous parle de l'art de l'escrime à travers l'exposition
"Duels, l'art du combat", à découvrir du 24 avril au 18 août 2024.
Quel point commun entre David et Goliath, le jeu Mortal Kombat, Cyrano de
Bergerac et le vicomte de Valvert, Batman contre Superman, Federer et Nadal... ?
Ces duels célèbres ont marqué les esprits, les cultures. Histoire, sport,
politique, littérature, jeux vidéo, conflits personnels : depuis des
millénaires, les hommes luttent et s'affrontent pour prouver leur valeur, sauver
leur honneur, rabaisser leur ennemi.
Le musée de l'Armée s'intéresse à ces duels dans une exposition inédite et
multidisciplinaire. Du 24 avril au 18 août 2024, venez admirer Duels. L'art du
combat, et apprenez-en plus sur cette pratique si répandue et très codée.
Des samouraïs aux chevaliers français en passant par l'Egypte antique ou la pop
culture américaine, le duel est une pratique très ancrée dans les sociétés, à la
fois romancée, régulée, bannie... Les duels répondent à de nombreuses règles :
selon l'époque, le pays, la raison, ces combats singuliers seront applaudis ou
proscrits.
L'exposition du musée de l'Armée nous offre donc un tour d'horizon sur ces
différentes coutumes, en commençant par une explication historique du duel, de
son but originel à son image fantasmée au XXIe siècle.
Jeux olympiques obligent, impossible de ne pas parler des duels sportifs :
escrime, judo ou karaté, course, tennis, tir... Les disciplines sont nombreuses.
Ce chapitre de l'exposition présente les divers moyens de s'affronter, en
mettant en lumière différentes armes, comme les épées, les sabres, les
pistolets, les dagues, les raquettes de sport, les navajas... Et pour que cette
expérience soit encore plus pédagogique, le musée nous propose une mise en
situation, avec un décor immersif et théâtralisé.
Le musée de l'Armée revient ensuite sur les grands duellistes de l'Histoire,
hommes et femmes dont les combats sont restés dans les mémoires. À travers les
pays et les siècles, les récits se multiplient et nous fascinent toujours
autant.
La dernière partie de l'exposition explore justement cette fascination, cet
attrait que l'on peut avoir pour ces histoires de combat. Lorsque les artistes
s'en mêlent, et transforment les duels en spectacle, tout un pan de la culture
se trouve transformé : cinéma, littérature, jeux vidéo, peinture, poèmes... Les
duels et les duellistes ont acquis une renommée éternelle grâce à ces œuvres et
ces styles.
Le musée de l'Armée nous entraîne ainsi dans une exposition passionnante, qui
devrait plaire autant aux amateurs d'Histoire qu'aux amoureux du sport ou de
l'art. À voir dès le printemps 2024.
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition
inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme,
une invention moderne, un héritage antique".
Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de
Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie
Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les
arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un
héritage antique.
En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père
des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition
sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le
musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers
différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie...
Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors
exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique.
Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se
retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les
artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les
gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout
en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays.
C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer
les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les
écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à
cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son
inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et
des trouvailles archéologiques.
L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces
Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était
un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de
1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir
ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs.
Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et
l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se
mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition
très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la
première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre
français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course
de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896.
Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne
dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
La Gaité Lyrique vous invite à découvrir sa nouvelle exposition, Coalition, du
24 avril au 2 juin 2024. Au total, les oeuvres de cinquante artistes vous
attendent pour une immersion dans les liens entre création artistique et
engagement environnemental.
Quand l'art et l'écologie se rencontrent... La Gaîté Lyrique vous invite à
découvrir sa dernière exposition, intitulée Coalition, du 24 avril au 2 juin
2024. Célébrant le quinzième anniversaire de COAL, l'association de référence
pour l'art et l'écologie, l'exposition promet d'aiguiser nos sens et notre
conscience écologique. En rassemblant près de cinquante artistes issus de divers
horizons, cette grande exposition pluridisciplinaire vise à mettre en lumière la
richesse et la variété des démarches artistiques engagées pour l'environnement.
Dans le cadre de la Gaîté Lyrique, connue pour son engagement en faveur d'une
culture régénérative et collaborative, l'exposition incarne une vision partagée
par ses partenaires fondateurs tels qu'Arty Farty, ARTE, makesense, Singa, et
Actes Sud. Ce projet ambitieux s'ancre profondément dans l'idéal d'un lieu
culturel devant assumer non seulement une responsabilité artistique, mais
également sociale et économique. L'objectif ? Aller au-delà de la simple
réduction des impacts environnementaux pour véritablement générer un impact
positif, faisant de la Gaîté Lyrique un modèle de lieu culturel régénératif où
le travail en écosystème occupe une place centrale.
Coalition, sous le commissariat avisé de Lauranne Germond et Sara Dufour, se
distingue par son ampleur et sa diversité. Des artistes de renom aux talents
émergents, tels qu'Angelika Markul, Shaun Gladwell, Hypercomf, et bien d'autres,
s'unissent pour retracer une communauté d'imaginaires. Ces imaginaires se sont
constitués au fil des quinze éditions du Prix COAL, une initiative majeure de
l'association visant à promouvoir, accompagner, et diffuser les artistes qui,
partout dans le monde, témoignent, imaginent, et expérimentent autour de la
révolution écologique. Coalition ne se contente pas de présenter des œuvres ;
elle invite à une prise de conscience des liens qui nous unissent à notre
environnement, à travers une programmation enrichie et accessible gratuitement
au public.
Faire l'expérience de Coalition à la Gaîté Lyrique, c'est donc participer à un
moment unique où l'art et l'écologie se rencontrent pour inspirer, éduquer et
inciter à l'action. LE rendez-vous incontournable pour tous les passionnés
d'art, d'innovation et d'engagement écologique !
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Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au
Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024.
Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se
mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers
des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling
artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à
l'existence !
Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature
accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective
française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024.
Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et
force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion
intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi
en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de
l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard
cosmopolite sur l'art contemporain.
Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un
parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de
l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour
créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de
l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante,
oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la
relation entre la chair et notre environnement.
L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir
de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation,
spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de
Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère
entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en
tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur
est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre,
symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une
métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée
d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie
s'épanouit.
La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux
exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire
colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces
œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives.
Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs
de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky.
En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de
matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique
inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision
de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir
un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art
contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices !
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Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition
entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe
du 23 avril au 27 octobre 2024.
Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de
voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent
automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de
nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce
que pourrait être notre futur.
Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se
construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des
plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril
au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa
diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu.
L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers
l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces
artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés.
Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités
plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir
les mondes de demain.
En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés
actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques
se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses
défauts, et, peut-être, de se redéfinir.
Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez
découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des
Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024.
La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à
découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et
d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024.
Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans
l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des
Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier
dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace
urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne.
La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion
exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre
de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée
Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument
emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la
technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis
de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en
lumière.
L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche
d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples
évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles.
Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer
Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence
de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également
mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture
populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris.
Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps,
où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de
l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet,
les amis ?
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Le Centre Pompidou s'intéresse au mobilier et aux objets créés pour les enfants
au XXe siècle, dans une exposition design à découvrir du 25 avril au 12 août
2024.
Meubles, chambres, bureaux d'écoliers, jeux : les designs des mobiliers pour
enfant ont bien changé en un siècle. Le Centre Pompidou nous propose une
rétrospective à la fois historique et artistique, à la découverte de "L'enfance
du design". Une exposition à voir du 25 avril au 12 août 2024 à Paris.
Au XXe siècle, la place, la singularité de l'enfant évolue grandement. Des
théories nouvelles sur l'apprentissage, la structure familiale, l'éducation
donnent à l'enfant une place plus importante dans le schéma social. Ce nouveau
statut social se traduit aussi dans le monde du design et de l'ameublement : les
chambres d'enfants deviennent des espaces à part, pensés pour leurs petits
habitants, avec des objets réalisés sur mesure pour eux.
En Allemagne, en France, au Danemark, en Italie, d'importants designers
imaginent des meubles et des objets originaux, conçus pour les enfants, et pas
pour toute la famille. Peu à peu, les chambres se transforment, devenant des
oasis colorés et joyeux pour les plus jeunes, des endroits conçus pour attiser
leur imagination et favoriser l'apprentissage de nouvelles compétences.
Le design des mobiliers pour enfants évolue en même temps que la société et ses
contraintes. La généralisation de l'école, le changement des normes des
logements, l'apparition de nouveaux matériaux, de théories sur les besoins des
enfants transforment les objets.
Les designers laissent parler leur créativité dans cet univers qui possède ses
propres contraintes, mais aussi ses libertés. Couleurs, objets interactifs,
formes, tailles, objets multifonctions : l'univers de l'enfance offre de
nombreuses opportunités créatives. Le jeu et l'originalité prennent une place de
plus en plus prépondérante dans les choix de design, transformant les chambres
en petits univers merveilleux.
Au fil du siècle et de l'exposition, on voit le mobilier changer et s'adapter,
illustrant le statut de l'enfant dans la société à chaque époque.
Une exposition fascinante pour les fans de design, à découvrir au Centre
Pompidou !
SOMEBODY, une expérience intime du corps
Le corps est une source infinie d'inspirations, une exploration captivante de
l’humain dans sa forme la plus authentique. Chercher à capturer sa grâce, sa
vulnérabilité et sa puissance, révèle une partie de l’essence de l'existence.
Pour l’exposition SOMEBODY, le corps est célébré nu. Les œuvres offrent une
variété de perspectives, aux supports et procédés multiples. La peinture, le
dessin, la photographie et la sculpture sont réunis pour soumettre une
combinaison protéiforme du corps. Sous cette superposition de styles, chaque
œuvre témoigne de manière unique. L’organique se transforme en représentations
iconiques alliant la force brute des lignes et la délicatesse des courbes.
Le corps se plie aux exigences de l’éclatement des points de vue. Il se lit ici
à l’infini : figuré, déstructuré ou abstrait. Comme un puzzle, les figures
surgissent en champs ouverts de dos, de face, de profil et s’affirment dans leur
individualité. Les esquisses délicates captent l'instant éphémère, tandis que
les sculptures immortalisent la solidité sculpturale du corps humain.
La gestuelle est étudiée pour en extraire le caractère et la tension qui
s’expriment à l’affût de l’instant, laissant le corps apparaître sous une
certaine contorsion. Dans ce ballet de mouvements à la légèreté fugitive et
évanescente, le nu poétique et le cru érotique dialoguent. Ils nous propulsent
vers cette attraction vertueuse et sensible et nous rappellent que le corps est
objet de désir.
SOMEBODY est une célébration audacieuse du corps qui explore la complexité de
notre condition. Une expérience sensuelle de la perception de soi et des autres
qui questionne sur l’essence du beau. Le regard est ici porté sur la diversité
des figures, des formes et des tailles qui composent la richesse de notre
humanité. Caroline Canault, Commissaire d’exposition.
Teaser :
https://www.youtube.com/watch?v=-8ET_IAFBrA
Catalogue :
https://heyzine.com/flip-book/d2c36466d3.html
Ces trois « Leçons » seront ancrées dans le département des antiquités
orientales, avec lequel l’artiste se sent une affinité toute particulière, au
point d’avoir, inconsciemment, recréé des œuvres qui y sont conservées. Dans ces
« Leçons » à deux voix, développées en conversation avec Ariane Thomas, elle
rendra la parole aux œuvres désormais silencieuses du département.