Namur en mai - 2023

Description

Festival des arts forains

Venez vivre la culture au cœur de la fabuleuse ville de Namur !

Prêts à vivre un week-end magique, les yeux grands ouverts et le coeur en voltige d’émotions ?
Envie de frissonner au coeur d’une programmation artistique riche, multiple et variée ?

Rendez-vous à Namur en mai, le festival des Arts forains. Au programme : plus de 100 représentations gratuites ou payantes, réalisées par plus de 65 compagnies venant des quatre coins de Belgique, d’Europe et du Monde.

Parmi les nouveautés :

Horaires :

info@namurenmai.org

http://www.namurenmai.org

Tickets

Info:

Gratuit, Payant

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Suggested events

Joke une fois ! Pour la troisième année, l’équipe de Namur is a Joke s’est lancé le challenge de trouver la prochaine étoile montante de l’humour ! Lors d’un concours de jeunes talents organisé sur deux soirées, huit visages de l’humour, connus ou inconnus, s’affronteront à coup de vannes et de punchlines ! Devant un jury de professionnels et un public de folie, les huit talents auront huit minutes pour convaincre en interprétant un sketch de leur choix. À l’annonce des délibérations, les quatre finalistes se retrouveront dès le lendemain pour présenter un nouveau sketch de… 15 minutes ! Et vous l’aurez compris… il n’y aura qu’un(e) seul(e) gagnant(e) !
Laurence Bibot – Je playback ! D’un côté, il y a les archives télévisées conservées par la Sonuma ; de l’autre, il y a Laurence Bibot qui s’en amuse dans des capsules parodiant les archétypes féminins : shampouineuse, directrice d'école, nymphette, ménagère de plus de 50 ans, femme dépressive ou exaltée, mais aussi des personnages connus, Barbara, Juliette Gréco, Sœur Sourire ou encore Amélie Nothomb dont la confection du chapeau haut aura nécessité des trésors d'imagination... En mimant l’expression corporelle et en reproduisant le mouvement des lèvres de ces femmes interviewées dont elle a adopté le costume et même les éléments de décor, Laurence nous offre chaque fois une véritable performance d’acteur. Ses playbacks (aujourd’hui au nombre de 150 !), Laurence les livrait d’abord aux réseaux sociaux, avant de les rassembler au Musée de la Photographie de Charleroi à l’occasion de l’exposition « Studio Madame ». Désormais, c’est sur scène qu’elle vous propose de les (re)découvrir, à l’occasion d’un spectacle-événement ! Au menu de la soirée : des playbacks bien sûr mais également une foule d’archives que Laurence s’est amusée à classifier : les gens qui mangent de la tarte et boivent du café ; les clips des années 80 déjà vieux à ce moment-là ; les scènes de mauvais comédiens ; les génériques de jeux télévisés ; les gens qui fument des cigarettes ; les vieux ; les politiques insolites... Bref, la grande Histoire de la télévision passée à la loupe (déformante et drôle) de Laurence qui entend analyser la place de la femme dans les médias et la manière dont nos traditions et notre société ont évolué depuis l’avènement de la télévision. Le résultat sera savoureux à regarder. Parce qu’il sera drôle, absurde et mélancolique. Mais aussi parce qu’il posera un regard sur une époque : des femmes incarnées par la comédienne mais gardant leur voix qu’elle se « contente » de nous faire entendre à nouveau, des langages, des coiffures, des folklores ; mais aussi des perruques, des foulards, des lunettes anachroniques – sur chemisiers fleuris ou tailleurs Chanel – seront au rendez-vous de cette plongée dans « notre » Histoire. Comble de plaisir, Laurence sera là, présente, en vidéo, en playback, en direct, dans le public, en chair et en son. Ce ne sera pas un one-woman-show, ce ne sera pas un documentaire ; ce sera un spectacle-playback, une forme audacieuse qu’elle a envie de partager avec le public, en toute confidentialité.
C’est mon troisième spectacle, et depuis le premier, y’a quelques trucs qui ont changé. Davantage de bougies sur mon gâteau, un peu moins de cheveux sur ma tête, et je vis avec des gens complètement immatures qui défoncent mon frigo, bousillent mon canapé, maltraitent la langue française, mais qui sont beaucoup plus drôles que n’importe quel humoriste. Enfin, sauf moi, évidemment.
Laura Domenge vous invite à passer la nuit avec elle. ("invite" c'est une expression, faut payer sa place bande de crevard.e.s)Elle se dit qu'en appelant ce spectacle comme ça elle attirera quelques galérien.e.s qui pensent qu'ils vont coucher avec elle pour seulement 20 balles et une fois qu'ils/ elles seront sur place ils réaliseront que... bah...non. Et du coup ils/ elles seront obligé.e.s d'entendre les élucubrations nocturnes et la vie de cette jeune insomniaque féministe écolo hyper potentiel et haut sensible ou l'inverse... Elle ne sait plus, elle n'a dormi que 3h...Laura Domenge : chroniqueuse sur France Inter dans la Bande Originale , dans Piquantes sur Teva, comédienne pour Lolywood et Topito, vous avez aussi pu la voir dans le Jamel Comedy Club.Télérama : "L'une des artistes les plus talentueuses de la nouvelle scène stand up." Le Parisien : "C'est frais, drôle, terriblement bien construit, joliment teinté de féminisme, rehaussé d'un jeu de comédienne énergique qui lui permet d'incarner de nombreux personnages. Notre plus belle insomnie.
Les Chiche Capon sont fous, de cette folie communicative qui emporte les spectateurs avec elle. Clowns sous acide, burlesques et déjantés, ils dédient leur 4ème spectacle à la musique. C’est le LA 432. Partant du principe que L’Echo du Big Bang est un LA 432, fréquence qui sert de base d’accord à tous les musiciens, on peut donc dire que l’univers s’est formé en musique. Il y a le petit chef mégalo et autoritaire, l’ingérable prêt-à-tout en perruque blonde, le géant maladroit et long à la détente, et enfin le vrai musicien, qui tente vainement de cadrer ses trois acolytes fous furieux. Ainsi nous voilà entraînés dans un voyage musical planétaire. Tout d’abord, dans l’univers théâtral normatif, défile une panoplie de personnages modelés par leur culture, allant du nord-américain toujours à la conquête de ses terres, à l’hindou surexploitant sa fibre sentimentale, en passant par le jazzman surjouant sa performance, le slammeur adepte de pataphysique et enfin LE chanteur de charme... Et puis, afin d’aller au bout du parti pris musical, les Chiche Capon poursuivent le voyage en formant un véritable groupe de musique : ils ne sont pas vraiment musiciens, et tant mieux, leur message n’en résonne que davantage. Comme à chaque spectacle du quatuor, à l’image d’un bon cartoon rempli de gags, rien ne va comme prévu dans l’histoire des Chiche Capon, et chaque évènement accidentel leur rappelle de façon récurrente, leur tendance universelle à l’entropie, la grande équation de l’univers, la dynamique du désordre et du déséquilibre... Entre parodie burlesque de Bollywood et odyssée galactique, les Chiche Capon promettent l’impossible ; dans un Big Bang théâtral sans pareil, ils ont la crétinerie flamboyante, contagieuse et totalement assumée.
« Hein ! »... Mais c'est pas un titre de spectacle ça!  C'est une interjection, une ponctuation !  Exactement, ce show c'est trois points de suspension.Un moment particulier en apesanteur que le public partage avec Freddy.  Il ne devait pas exister ce spectacle, mais il est apparu comme une turgescence sauvage émerge dans le humus fertile de la spontanéité.  Pendant les périodes compliquées de ces deux dernières années, il a fallu trouver d'autres formes pour se produire sur scène, créer, recréer l'espace scénique.  Et ainsi des textes, des situations sont nés de ces nouvelles formes et ont donné naissance à « HEIN ! » C'est du Freddy en toute liberté qui lâche les brides du cheval fougueux de son enthousiasme. En grand écart, il passe aussi virevoltemment, d'une analyse pointue de la conjecture actuelle sans cesse en évolution à la réinterprétation très personnelle des Grands Classiques de la Chanson française. C'est pas un spectacle à voir, c'est un spectacle à vivre ! « HEIN ! » de et par Freddy Tougaux
Après le succès critique et populaire au Québec de son premier spectacle « Du Bruit dans le Cosmos » qui proposait d'observer la réalité terrienne à partir de loin dans l’espace, Virginie Fortin présente son deuxième one-woman-show « Mes Sentiments » dont le titre suggère qu’il en sera un beaucoup plus personnel et sans doute même plus drôle. L’artiste maintenant vedette au Québec tourne cette fois-ci son regard moqueur vers l’intérieur de l’humain pour explorer l’univers intangible des émotions, de la peur à la colère, en passant surtout par le rire. Toujours dans un style mi-philosophie mi-blague, quelque part entre l’existentialisme et l’humour, « Mes Sentiments » est un voyage à travers le temps, la vie, et les feelings qui font qu’au final, c’est bizarre d’être quelqu’un de toute façon.
Thomas Wiesel revient avec un nouveau spectacle. Normal, c’est son travail. Mais parlons-en justement, du travail, dans cette société qui est en train de se demander quelle place lui donner dans nos vies, alors que d’aucuns sont en quête de sens plutôt que d’heures supp’ et que d’autres craignent que les jeunes n’aient plus envie de bosser. Et si Humoriste n’est certes pas un boulot comme les autres, il permet d’avoir un peu de recul pour se moquer un peu de ce sacro-saint travail, ce boulot omniprésent, ce gagne-pain tout-puissant, ses excès, ses anglicismes, les collègues, les patrons, et les mails, qui le méritent bien. Après votre travail, venez décompressez en regardant Thomas faire le sien. Et ne ratez pas ce spectacle, il ne sera pas en tournée très longtemps, Thomas se réjouit déjà de partir en vacances.
Antoine Donneaux a un problème. Non pas tellement qu’il soit hypocondriaque, après tout, enjamber le pédiluve avant de sauter dans la piscine, tout le monde l’a déjà fait. Le principe de précaution, tout ça, tout ça… En fait, ce jeune et élégant humoriste durbuysien est imitateur. Mais malgré lui. Imaginez-le en train de vous raconter sa vie, façon stand up. Vous parler des trucs qu’il aime, qu’il n’aime pas, évoquer des souvenirs. Voire discourir sur de vrais sujets de société comme par exemple l’influence insidieuse qu’exerce sur tout un chacun la publicité. Et soudain, voilà qu’il se transforme, ses cordes vocales comme possédées par un autre. Ou parfois même : une autre. Vous imaginez à quel point ça peut être pénible ? Ça l’est, et le pire pour lui, c’est que le public en redemande ! Alors ce charismatique garçon obtempère. Laisse l’un ou l’autre personnage bien connu se glisser dans ses chroniques absurdes et ses petites tranches de vie palpitante. Notez, cela va parfois de soi : la première personnalité qu’il a imitée n’est autre que son père devant son poste de télévision. On sent chez lui un souci d’authenticité, inédit de ce côté-ci de la galaxie. « Et sinon, demanderont certains, est-ce qu’Antoine fait Johnny ? » Ben non ! Enfin, si, presque. Vous verrez bien ! Ah, oui, et un petit conseil : « Antoine Donneaux, imitateur malgré lui » étant à la scène ce qu’un Marvel est au cinéma de super-héros, restez dans la salle après le générique, ou plutôt le rappel. Car il y a avec lui aussi une petite surprise à la clé.