DAPHNIS ET CHLOÉ (SAISON THÉÂTRE DU CAPITOLE)

Description

Thierry Malandain / Maurice Ravel
Daphnis et Chloé est un ballet, plus précisément une symphonie chorégraphique avec chœur, écrite par Maurice Ravel, et l’une des plus belles œuvres de musique française.

Durée : 1h30

Le ballet a été créé le 8 juin 1912 à Paris au Théâtre du Châtelet par la troupe des Ballets russes. Un siècle plus tard, une relecture est confiée au célèbre chorégraphe Thierry Malandain qui nous dit trouver son inspiration par la voie de l’impressionnisme, comme une peinture de ballet.Cette création mondiale sera précédée d’une relecture par Thierry Malandain du mythique L’Après-midi d’un faunede Debussy. L’expression de la sensualité dans le rêve et le fantasme y fera écho à l’innocence et à la passion amoureuse de Daphnis et Chloé.Une soirée exceptionnelle à la Halle aux grains avec la réunion des trois forces vives de la Maison Capitole : le Ballet, le Chœur et l’Orchestre dirigé par Maxime Pascal, pour l’une des plus belles fresques musicales et chorégraphiques

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Une pièce pour deux acrobates, de la musique, des voix adolescentes et celle d'un anthropologue, où la question des masculinités s'immisce à travers le chant des oiseaux. Acrobaties ritualistes et engagées d'hommes oiseaux, danses répétitives et débridées questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse adolescente, entre approbation et transgression. Où sont passés ces garçons qui modulent des sifflements, manient le canif, brûlent les gymnases, grimpent aux arbres et aux murs pour éprouver le vertige à Sont-ils toujours là, à vouloir devenir homme, découpant le sanglier et imitant l'oiseau à Et les filles, elles en pensent quoi de tout ça ? Après une enquête menée notamment à Tarbes, le GdRA écrit une oeuvre plurielle où les paroles de l'anthropologue Daniel Fabre côtoient des témoignages enregistrés auprès d'adolescent·es, accompagnés par une création musicale faite de sifflets, de chants occitans, de guitare parfois rugissante. Sur scène, deux acrobates oiseaux dansent, voltigent, se brûlent, se confrontent à l'espace et aux frontières et s'envolent au risque de la chute... Les représentations auront lieu du 23 avril 2024 au 26 avril 2024 au Théâtre Sorano à Toulouse. Les horaires sont les suivants : - Mardi 23 avril 2024 à 20h00 - Mercredi 24 avril 2024 à 20h00 - Jeudi 25 avril 2024 à 20h00 - Vendredi 26 avril 2024 à 20h00
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.
L’homme aux millions de vues sur les réseaux sociaux est en tournée des Zénith en 2024 avec son premier spectacle MURMURATION. Plus de 40 danseurs vont vous faire voyager et rêver pendant 1h15 sur des chorégraphies hypnotisantes de Sadeck Berrabah.
Pour John Neumeier, Le Chant de la Terre est l'aboutissement d'un long dialogue avec la musique de Gustav Mahler, qu’il affectionne tout particulièrement. Durée : 1h30 sans entracte. Avec une chorégraphie d'une sensibilité rare et subtile, une scénographie épurée et des costumes stylisés, inspirés de peintures chinoises anciennes, John Neumeier évoque la solitude des êtres, leur recherche perpétuelle d’amour et leur angoisse devant la mort. Mais rien de désespéré car la promesse de renouveau et d’éternité se fait jour dans ces chants à la beauté élégiaque.
Comment le vivant reste-t-il vivant à Tirant inspiration, énergie et souffle vital d'un authentique " Jeu de la vie " imaginé par un mathématicien britannique, les interprètes de The Game of Life invitent le public à une battle ludique entre harmonie et chaos, évolution et révolution, musique et danse. Une soirée = deux spectacles : billet valable également pour Dancer of the Year de Trajal Harrell (présentée la même soirée à 21h). En 1970, le mathématicien John Horton Conway conçoit un jeu dont le principe est de créer un environnement qui se génère et se régule automatiquement, selon des règles à la fois rigoureusement logiques et totalement imprévisibles, étonnamment proches de celles du vivant à et donc des sociétés humaines. Un jeu que les chorégraphes Liz Santoro et Pierre Goddard réinterprètent ici pour le confier à un compositeur à Pierre-Yves Macé à et six interprètes à trois de l'ensemble musical L'instant donné, trois de la compagnie chorégraphique Le Principe d'incertitude. Au fil du spectacle, la petite communauté se plie ainsi à des injonctions toujours inattendues, adaptant à la volée musique live et chorégraphie, afin de ne surtout pas briser l'unisson, ni interrompre le spectacle à un haletant suspens, où The Game of Life rime étrangement avec The Show Must Go on... Engageant la bataille joliment complexe entre écriture et improvisation, individu et collectif, chaos et harmonie, une soirée réjouissante où la puissance des corps l'emporte à tous les coups. Pierre-Yves Macé présente également cette saison à Garonne Variations Belvédère avec L'Instant Donné le 7 octobre 2023, Notes sur les diapasons invisibles avec l'Ensemble Dedalus le 10 novembre 2023 et Walter Benjamin avec Sylvain Creuzevault et Arthur Igual du 23 au 25 mai 2024.
En 2018, Trajal Harrell est désigné par le jury allemand de Tanz Magazine " Danseur de l'année ". À l'honneur qui lui est fait alors, il répond ici par un solo qui se veut à la fois un retour intimiste sur sa carrière de chorégraphe et interprète, autant qu'une réflexion critique sur l'histoire de la danse et la valeur que peut bien avoir ce genre de distinction. Dans le solo Dancer of the Year, on voit l'artiste répéter des gestes afin de se les réapproprier, revisiter ses oeuvres antérieures, et tenter d'en raviver la puissance à et peut-être un sens caché. Chorégraphe attentif à des influences diverses qu'il sait rendre étrangement proches à du populaire voguing new-yorkais au butô japonais en passant par la postmodern dance à Trajal Harrell met en scène, en mouvements et en question(s) une histoire troublante de la danse contemporaine. Où se télescopent, à travers des lieux et des temps hétérogènes, sa singulière identité, la représentation de cultures alternatives, et l'expression de voix plurielles. Danseur de l'année : le solo somptueux d'un corps multiple, pour une année qui n'a jamais vraiment commencé, et ne connaîtra jamais de fin...
Le GdRA creuse le sillon de son théâtre anthropologique en mettant en scène une chorégraphie poétique pour deux hommes-oiseaux, accompagné par un musicien. Acrobaties ritualistes et engagées, danses répétitives et débridées, paroles et silhouettes, questionnent et montrent la métamorphose de la jeunesse, entre approbation et transgression.