Fabian Le Castel "Médisant de scène"

Description

Nouveau spectacle Médisant de Scène! 10 ans ça se fête!Voilà 10 ans que ce (Encore) jeune imitateur sévit sur scène . Toujours aussi vocalement schizophrène, il devient au contact du mordant Jérôme De Warzée de plus en plus satirique et grinçant . Fabian Le Castel est définitivement passé du côté obscur de la farce . « Médisant de scène » un spectacle drôle et volontairement piquant qui dégomme la télévision , la politique, la chanson et les peoples . Performances vocales, nouveaux personnages, grincement de dents et fous rires, « Médisant de scène » un spectacle totalement Rock’n LOL.Collaboration Artistique Marc Andreini Ecrit par Fabian Le castel et Fabrice Maes Produit par Birdie ProductionsPour suivre Fabian Le Castel Cliquez ici ou Cliquez iciRéservation obligatoire via cette billetterie.Si vous avez un Pass Partout merci de réserver via info@laruchetheatre.be ou 0473/ 39 00 82Lieu accessible aux personnes à mobilité réduite. ♿Toutes les mesures de précaution concernant le Covid-19 seront appliquées. Covid Safe Ticket obligatoire.Si le spectacle à lieu en salle (Grande Ruche ou Grenier) le port du masque est obligatoire durant toute la durée du spectacle.A tout bientôt!Cerise sur le gâteau, le parking est gratuit.

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Après le succès retentissant de son premier spectacle, Sylvie VDS revient avec encore plus de mordant et d'irrévérence. Dans "La Spiritualité Mon Cul", elle explore avec une franchise désarmante les aspects souvent mystérieux et ésotériques de la vie quotidienne. À travers une série de sketches hilarants, de monologues percutants et d'anecdotes incisives, elle démonte les clichés entourant la spiritualité pour révéler ce qu'elle appelle le vrai "moi intérieur" - celui qui peut être à la fois profondément spirituel et tout à fait terre-à-terre. Dans ce spectacle, Sylvie VDS se lance à bras ouverts dans des sujets aussi variés que l'égo et ses ruses, la puissance inouïe de l'imagination humaine, les mystères de l'inconscient qui influencent nos choix, ainsi que le rôle parfois hilarant et maladroit du sexe dans nos vies. Elle combine avec brio ses observations aiguisées sur la nature humaine avec des anecdotes personnelles, créant ainsi un spectacle qui fait rire autant qu'il fait réfléchir. "La Spiritualité Mon Cul" ne craint pas d'aller là où d'autres n'osent pas s'aventurer. Tout en conservant la signature comique, authentique et surréaliste qui a captivé son public, Sylvie pousse les limites pour démystifier la spiritualité d'une manière tout à fait unique et inattendue. Ce spectacle vous fera rire tout en vous invitant à remettre en question vos croyances et à explorer les coins sombres et lumineux de votre propre être. Si vous avez aimé "Authentique et puis c'est tout", préparez-vous à une nouvelle dose de franche rigolade et de réflexion profonde avec "La Spiritualité Mon Cul". Achetez vos billets dès maintenant et rejoignez Sylvie VDS pour une soirée où l'humour décalé et la pensée profonde se rencontrent de manière inoubliable. L'équipe de La Ruche Théâtre Royal se donne sans compter pour vous garantir une soirée chaleureuse, familiale, professionnelle ou vous reviendrez pour son authenticité.
Si naître au bon endroit au bon moment était un sport, Adel s’est brisé les ligaments à la 1e minute. Vegano-Ecolo-bobo-gauchiste-chevelu sans carences né dans une famille Algérienne, Adel ne rentre dans aucune case qui lui était prévue. Il a déçu son père, la Belgique et Zemmour mais jamais le public. Après avoir fait les 1e parties de Guillermo Guiz, Florence Mendez, Geremy Credeville, Laura Laune, du Gala de Jason Brokers, Thomas Wiesel et beaucoup d’autres, il vient jouer son spectacle à La Ruche Théâtre Royal. Un humoriste à venir voir avant la fin de son titre de séjour. 15€ jusqu'au 1er janvier , ensuite 18€ en pré-vente et pour les moins rapides 21€ sur places L'équipe de La Ruche Théâtre Royal se donne sans compter pour vous garantir une soirée chaleureuse, familiale, professionnelle ou vous reviendrez pour son authenticité. Si vous le souhaitez, un restaurant se trouve dans le théâtre. Plus d'information ici Le théâtre accessible à tous, une de nos priorités. ♿ Si vous avez un Pass Partout, merci de réserver via info@laruchetheatre.be ou 0473/ 39 00 82. Cerise sur le gâteau, parking gratuit en soirée. A tout bientôt! Vous souhaitez nous soutenir en faisant un don? Numéro de compte: BE73 3631 5162 2760 au nom de La Ruche Théâtre asbl Communication: "DON" + adresse email Nous vous remercions du fond du cœur.
"PE nous revient avec un nouveau spectacle..." "Le rideau se lève sur le Festival du Rire de Charleroi à La Ruche Théâtre Royal avec l'irrésistible PE en tête d'affiche ! Mais attention, nous ne nous arrêtons pas là. Le défi est lancé, d’autres humoristes de classe se préparent à vous faire plier de rire durant 3 jours. Restez connectés pour découvrir les surprises qui vous attendent. La barre du rire à La Ruche Théâtre Royal est sur le point d'atteindre de nouveaux sommets !" À tout bientôt 22€ jusqu'au 31 décembre 25€ dès le 1er janvier L'équipe de La Ruche Théâtre Royal se donne sans compter pour vous garantir une soirée chaleureuse, familiale, professionnelle ou vous reviendrez pour son authenticité. Si vous le souhaitez, un restaurant se trouve dans le théâtre. Plus d'information ici Le théâtre accessible à tous, une de nos priorités. ♿ Cerise sur le gâteau, parking gratuit en soirée. A tout bientôt! Vous souhaitez nous soutenir en faisant un don? Numéro de compte: BE73 3631 5162 2760 au nom de La Ruche Théâtre asbl Communication: "DON" + adresse email Nous vous remercions du fond du cœur.
Efeu
29mrt.
-20:00
Après deux pièces marquées par l’état tourmenté du monde, Thomas Hauert plonge dans le rapport physique entre la vie et la terre. Efeu, lierre en allemand : plante de lien et de soin. Six interprètes se relaient pour composer ce quatuor mouvant, fait d’antagonismes, de résistance, de cohésion. À l’encontre de l’entropie, cette tendance au chaos propre à tout système physique, les êtres vivants constituent une sorte d’anomalie avec leur propension à s’unir mais aussi leur aspiration au mouvement — dût-il, tel le lierre, défier la gravité. Sur ce terreau, le chorégraphe et ses complices de toujours composent un quartet à géométrie variable (pour six danseur·euse·s), une pièce jamais figée, recréée à l'infini par l'improvisation inhérente à sa distribution changeante. S'y réaffirme la quintessence collective de la danse selon Thomas Hauert. Après le profus How to proceed (2018) et l’austère If Only (2020), qui observaient les corps marqués par l’état du monde, Efeu (2022) place le monde face aux états du corps. Avec ses transitions quasiment symphoniques, sa bande-son entre variété italienne et musique contemporaine, son langage organique et abstrait à la fois, Efeu fait méthode et matière des structures sociales qu’il articule, avec toujours cette si généreuse "écoute active" à l’œuvre entre les interprètes et contaminant le public. In tegenstelling tot entropie, de neiging tot chaos die inherent is aan alle fysieke systemen, zijn levende wezens een soort anomalie, met hun neiging tot eenheid maar ook hun verlangen naar beweging - zelfs als ze, net als klimop, de zwaartekracht tarten. Tegen deze achtergrond componeren de choreograaf en zijn vaste kompanen een kwartet met variabele geometrie (voor een cast van zes dansers en danseressen), een stuk dat nooit stilstaat, eindeloos herschapen door de improvisatie die inherent is aan de wisselende bezetting. Het bevestigt de essentie van het collectieve karakter van dans volgens Thomas Hauert. Na het overdadige How to proceed (2018) en het sobere If Only (2020), waarin lichamen werden geobserveerd die getekend waren door de toestand van de wereld, confronteert Efeu (2022) de wereld met de toestanden van het lichaam. Met zijn bijna symfonische overgangen, zijn soundtrack die Italiaanse variété en hedendaagse muziek combineert, zijn taal die zowel organisch als abstract is, is Efeu zowel de methode als het materiaal van de sociale structuren die het naar voren brengt, steeds met dat zo genereuze 'actieve luisteren' tussen de performers dat overslaat op het publiek. In contrast to entropy, the tendancy for chaos inherent in any physical system, living things are an anomaly because of their propensity to come together and their desire for movement – even if, like ivy, it defies gravity. In this fertile breeding ground, the choreographer and his long-term collaborators form a quartet of variable geometry (for a cast of six dancers) a formation that is never fixed, recreating itself ad infinitum through the improvisation inherent in its changing line-up. It reaffirms the collective quintessence of dance according to Thomas Hauert. After the lavish How to proceed (2018) and the austere If Only (2020), both of which observed bodies affected by the state of the world, Efeu (2022) brings the world face to face with states of the body. Using almost symphonic transitions, a soundtrack featuring Italian light music and contemporary pieces, and a language that is simultaneously organic and abstract, Efeu turns the social structures it is articulating into both its method and material, with as ever extremely generous “active listening” between the performers and contaminating the audience.
One Song
05apr.
-
06apr.
Invitée par Milo Rau à composer le 4e volet du cycle Histoire(s) du Théâtre, Miet Warlop injecte une haute dose d’adrénaline et d’endorphines dans les conventions scéniques. Cette performance théâtrale, chorégraphique, musicale et sportive déplie une chanson unique en variations multiples, jouée jusqu’aux limites de l’épuisement. Plasticienne et metteuse en scène dont l’art prend possession du plateau en mouvement, Miet Warlop convoque pour cette pièce ses souvenirs intimes douloureux, les portant avec exubérance et humour à la scène. Sur le motif One Song, chanson de deuil et de vie co-écrite avec Jeroen Olyslaegers, se greffent d’infimes et infinies variations, de tonalité, de rythme. Propulsée dans une traversée aussi éprouvante que galvanisante, la petite société que forment les douze interprètes fait de ce concert/performance une course au dépassement de soi, une ode échevelée à la pulsion vitale, au combat quotidien, un morceau de bravoure à la fois virtuose et décontracté. Un Requiem sur lequel du temps a passé, estompant les plaies sans les cicatriser, une célébration des désirs, un exorcisme des chagrins, une sublimation de l’effort, où le sport et l’art se mêlent jusqu’aux délices de l’absurde. Miet Warlop is een beeldend kunstenaar en regisseur wiens kunst bezit neemt van het bewegende podium. In dit stuk roept ze haar eigen intieme pijnlijke herinneringen op en brengt ze die met uitbundigheid en humor op het podium. Het motief van One Song, een lied van rouw en leven geschreven in samenwerking met Jeroen Olyslaegers, is geënt op oneindige variaties in toon en ritme. Voortgestuwd door een even beproevende als opzwepende reis maakt het kleine gezelschap van twaalf performers van dit concert/performance een race om zichzelf te overtreffen, een uitzinnige ode aan de vitale impuls, aan de dagelijkse strijd, een bravourestuk dat zowel virtuoos als ontspannen is. Een Requiem waar de tijd overheen is gegaan, de wonden verzachtend zonder ze te helen, waar het verlangen wordt gevierd, het verdriet verdreven, een loutering van inspanning, waar sport en kunst zich vermengen tot de heerlijkheid van het absurde. For this piece, Miet Warlop, a visual artist and director whose art takes possession of the stage using movement, recalls painful personal memories, bringing them to the stage with exuberance and humour. Infinite tiny variations in tonality and rhythm are grafted onto the motif of One Song, a song of mourning and life co-written with Jeroen Olyslaegers. Propelled through it in a way that is both testing and galvanising, the small society composed of twelve performers turns this concert/performance into a race to seek new challenges, a dishevelled ode to a vital impulse, to everyday battles, a virtuoso bravura piece that is laid back at the same time. A Requiem in which time has passed, softening wounds without healing them, a celebration of desires, an exorcism of sorrows, a sublimation of effort in which sport and art blend together to the point of taking delight in the absurd.
En deux pièces, førm Inførms et Emaphakathini, les chorégraphes Marco da Silva Ferreira et Amala Dianor font vibrer leurs écritures pour les danseur·euse·s de Via Katlehong. La compagnie sud-africaine incarne l’ardeur du pantsula, danse urbaine aux jeux de jambe véloces. C’est un diptyque où se décline au fil de deux chorégraphies l’impétuosité de Via Katlehong. Cette compagnie sud-africaine fait sonner depuis 1992 l’héritage du panstula, une danse née dans les années 1960 dans les township de Johannesburg, caractérisée par la virtuosité de ses pas rapides. En ouverture du programme Via Injabulo, le chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira, imprégné de ses recherches sur les danses urbaines africaines-américaines, plonge le groupe dans une ambiance clubbing au rythme intense avec førm Inførms. Puis, avec Emaphakathi, le Français Amala Dianor fait exploser la liesse d’être ensemble qui habite cette danse sociale, à la fois sonore par ses frappes de pied, vocale par ses cris qui scandent la danse. Un ensemble entraînant, où l’hybridité des danses d’Afrique du Sud, à la frontière entre danses traditionnelles et urbaines contemporaines, résonne.
Corps, matière et mouvement s’entrecroisent dans l’art de Kyung-A Ryu, dont la recherche en cours, autour de la figure de l’oiseau, englobe les éléments, la position et le rôle de l’humain dans son environnement. La pièce à venir, pour un danseur-oiseau et deux musiciens, sera accessible dès 5 ans. Formée à la danse traditionnelle et contemporaine à Séoul, Kyung-A Ryu, Bruxelloise depuis 2002, a étudié les arts plastiques à la Cambre, tout en s’intéressant à la philosophie et au montage sonore. Son langage principal – le mouvement – entre en résonance avec la relation de l’individu à son environnement. Avec aussi la dualité de son identité, entre Europe et Corée, où la connexion à la nature s’opère avec humilité. En imaginant une danse dans un costume d’oiseau, la chorégraphe questionne cette figure, tant symbolique que réelle, dans diverses cultures, de l’Amérique du Nord à l’Extrême Orient. "Comment recréer du sacré et de l’écoute dans un espace où les corps, les images et les langages sont en perpétuel mouvement? Comment le folklore et la création contemporaine peuvent-ils fusionner? le réel et le fictionnel s’entrelacer?" Modulable, L'Oiseau que je vois pourra circuler de la boîte noire des théâtres aux écoles ou aux places publiques.
Le Dragon
Until31mrt.
Création 2024 de Vivre en fol Cie Le chevalier Lancelot, héros professionnel, arrive dans une petite ville gouvernée depuis quatre cent ans par un despotique dragon à trois têtes. En le combattant, Lancelot pense libérer la ville et ses habitants de l’opression mais une tyrannie peut en cacher une autre... Nous sommes très heureux de présenter la nouvelle création adulte de notre Vivre en fol Cie. Enfin, quand on dit adulte, il est toujours entendu que l’on peut venir en famille! Cette pièce écrite en 1943 à Moscou et interdite jusque dans les années 60, dénonce non sans humour tous les totalitarismes. Prix 13€ et 16€ à 20h et le dimanche à 16h
Une comédie noire qui brille par son cynisme lumineux. Portée par des comédiennes exceptionnelles. L’occasion de revenir sur les secrets de famille, les drames passés sous silence dont la disparition d’un des membres du groupe rend l’expression possible ou comment tourner en dérision ce moment des funérailles qui a finalement beaucoup d’absurde. Granny vient de mourir, seule, dans son home, “la tête dans le frigo”. Ensuite viendra le passage de la chambre froide aux flammes du crématorium. Quatre femmes, sa fille, ses deux petites-filles et leur cousine reforment à l’occasion de cet enterrement un noyau familial ardent, sauvage, aimant, haineux, un noyau humain explosif qui va faire fondre la glace des non-dits, des politiquement corrects, des machines virtuelles, des froides cellules familiales. Une fusion nucléaire pour chercher un peu de chaleur, “de la tendresse bordel !” Une grand-mère meurt, un glacier fond. Une famille se reconstruit avec beaucoup d’humour et de tendresse parfois maladroite, une famille comme tant d’autres qui traverse un deuil. C’est caustique, on rit, on pleure, on vit. 20h30
And Also The Trees s'est formé à l'époque du « Post-Punk » dans le Worcestershire, en Angleterre.Ils sont connus pour leurs performances live captivantes, leur style unique de mandoline comme la guitare électrique, leurs paroles évocatrices, leurs rythmes de jazz sombre et leur indépendance soigneusement préservée. « Mother-of-pearl Moon », le nouvel album « And Also The Trees », est une œuvre puissante qui a commencé comme une série d’improvisations extraordinaires à la guitare. Une voix, une clarinette, un piano, des percussions, une autoharpe et du Moog ont été ajoutés et l'auditeur est transporté dans les profondeurs de la campagne anglaise, au loin dans toutes les directions de la boussole. L'album sortira en février 2024. Ils seront dans le cadre prestigieux de l'église de à La Nef pour le présenter.