100% L'EXPO, l'exposition gratuite de la Villette met à l'honneur les jeunes artistes

Description

100% L’EXPO, c'est un festival artistique gratuit et incontournable à voir du 5 au 23 avril 2023, dans le parc de La Villette, des folies à la Grande Halle. Cette exposition réunit de nombreux jeunes artistes tout juste sortis d'école, pour une découverte inédite de l'art de demain.

C'est devenu une tradition dans le monde de l'art : la Villette accueille chaque année de jeunes artistes lors d'un festival gratuit. 100% L'Expo, c'est une manifestation culturelle, mettant en avant des installations et des photographies, qui représente le travail des grands artistes de demain. Et cette année, cette grande exposition vous attend du 5 au 23 avril 2023.

Temps fort de ce festival, 100% L’EXPO réunit une centaine de jeunes artistes qui viennent de terminer leurs études pour une exposition collective pluridisciplinaire qui mélange arts plastiques, installations, cinéma, vidéos, design, photographie, mode, performances... Pour ces artistes, c'est une belle occasion de se confronter aux visiteurs, et pour les écoles d'art, c'est une belle opportunité pour montrer leurs cursus et leurs débouchés.

Cette année, une cinquantaine de jeunes talents sont mis en avant, issus de nouvelles écoles. L'Expo est organisée à la Grande Halle, mais on retrouve aussi tout un parcours d'œuvres à admirer dehors, en plein air.

Pour respecter notre environnement, la scénographie de 100% L'EXPO est entièrement constituée d'éléments de récupération, pour suivre une démarche écoresponsable chère à l'institution et à ces artistes qui s'interrogent souvent sur notre futur et celui de la planète.

Voici en détail le programme de cette édition 2023 du festival 100% L'EXPO :

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Suggested events

Avis aux amateurs de néo-pop art ! L’artiste japonais Takeru Amano expose ses œuvres à la galerie Sato à Paris du 20 avril au 12 mai 2024 à l’occasion de sa nouvelle installation personnelle intitulée « IMA ». Considéré par beaucoup comme le maître du néo-pop art japonais, Takeru Amano annonce son retour à Paris ce printemps avec une nouvelle exposition personnelle intitulée « IMA », qui signifie "maintenant/le moment" en japonais. A ne pas manquer à la galerie Sato du 20 avril au 12 mai 2024, cette nouvelle installation est l’occasion de découvrir l’univers coloré de cet artiste énigmatique ainsi que toute sa diversité artistique. La galerie Sato, récemment inaugurée dans le 3e arrondissement de Paris, annonce ainsi l’exposition de plusieurs portraits des Venus, ces fameuses icônes qui font désormais la signature de l’artiste originaire de Tokyo. Les visiteurs pourront également admirer des natures mortes du peintre et sculpteur nippon, ainsi que des paysages réinterprétés avec le style artistique distinctif de Takeru Amano. Parmi les œuvres à ne pas manquer, la galerie Sato cite aussi une sculpture de la Venus entièrement réalisée en bois. De l'acrylique sur toile aux sculptures en bois et en bronze, Takeru Amano fusionne une variété de techniques artistiques que la Galerie Sato vous invite donc à découvrir gratuitement ce printemps à Paris. Notez que la galerie a mis en place une plateforme dédiée accessible ici pour réserver un créneau de visite. Artiste de renom, Takeru Amano est le fils de Yoshitaka Amano, connu pour l’univers du jeu vidéo Final Fantasy. Baignant dans l'univers artistique depuis tout petit, Takeru Amano a su développer son propre style au fil des années, inspiré directement de la culture japonaise de la fin du XXe siècle dans laquelle il a grandi. Le style artistique de Takeru Amano se caractérise notamment par la juxtaposition de sujets classiques, philosophiques et mythiques avec des éléments de pop art, comme le "kawaii". Preuve de sa renommée, ses œuvres ont déjà été exposées à Tokyo, Hong Kong, New York ou encore Londres. Du 20 avril au 12 mai 2024, Takeru Amano revient donc à Paris avec son installation "IMA" qui promet de nous surprendre !
Découvrez la première grande rétrospective en France de Tamara Kostianovsky au Musée de la Chasse et de la Nature à Paris du 23 avril au 22 septembre 2024. Cette exposition immersive révèle les créations singulières de l'artiste, où se mêlent mémoire, violence, et la symbiose entre l'humain et la nature à travers des œuvres sculpturales uniques. Plongez dans un univers où l'upcycling artistique prend vie, invitant à la réflexion sur notre rapport au monde et à l'existence ! Avis aux amateurs d'art contemporain ! Le Musée de la Chasse et de la Nature accueille une exposition unique en son genre, la première grande rétrospective française de l'œuvre de Tamara Kostianovsky, du 23 avril au 22 septembre 2024. Une exposition qui dévoile une perspective artistique fusionnant subtilité et force, évoquant des thèmes tels que la mémoire, la violence, et la connexion intime entre le corps humain et la nature. Née à Jérusalem en 1974, ayant grandi en Argentine et établie aux États-Unis, Tamara Kostianovsky, diplômée de l'Université de Boston et de l'Université de Floride, amène un regard cosmopolite sur l'art contemporain. Au sein de cette exposition, près de trente œuvres sélectionnées jalonnent un parcours immersif au sein du musée. Chaque pièce incarne la signature unique de l'artiste : l'utilisation innovante de textiles et de vêtements usagés pour créer des sculptures et des installations qui interrogent la fragilité de l'existence. L'exposition se révèle être un trompe-l'œil de beauté saisissante, oscillant entre fascination et répulsion, et invite à une réflexion sur la relation entre la chair et notre environnement. L'exposition débute avec une forêt de souches d'arbres, métamorphosées à partir de vêtements recyclés, dans la salle d’exposition. Cette installation, spécialement conçue pour l'occasion, représente une œuvre monumentale inédite de Tamara Kostianovsky. Dans le salon de compagnie, un contraste saisissant s'opère entre les toiles classiques de Chardin et de Desportes et les oiseaux colorés en tissu perchés sur les murs de damas de velours prune. En avançant, le visiteur est confronté à des carcasses de textiles imposantes dans l'antichambre, symbolisant un mélange de beauté et de violence. Ces œuvres représentent une métamorphose de la carcasse en un habitat pour la vie, illustrant ainsi l'idée d'une transformation de la mort en un environnement utopique où la vie s'épanouit. La salle des oiseaux propose des panneaux décoratifs enrichis d'oiseaux exotiques, traitant implicitement de la colonisation et de l'imaginaire colonial. Inspirées des papiers peints français du siècle des Lumières, ces œuvres offrent une végétation presque féerique, saturée de couleurs vives. Enfin, la salle de la forêt présente des triptyques qui permettent aux visiteurs de s'immerger dans la minutie et la poésie du travail de Tamara Kostianovsky. En explorant des thèmes universels à travers une utilisation innovante de matériaux ordinaires, Tamara Kostianovsky offre une expérience artistique inoubliable. Le Musée de la Chasse et de la Nature, toujours fidèle à la vision de ses fondateurs, François et Jacqueline Sommer, continue ainsi de promouvoir un dialogue créatif entre l'Homme et le Vivant, enrichissant le paysage de l'art contemporain avec des perspectives uniques et provocatrices ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Les artistes du monde arabe imaginent les mondes de demain, dans une exposition entre science-fiction et rêve. Découvrez Arabofuturs à l'Institut du Monde Arabe du 23 avril au 27 octobre 2024. Le film Retour vers le futur imaginait que l'année 2015 serait peuplée de voitures volantes, de skateboards qui lévitent, de vêtements qui s'ajustent automatiquement au corps... La réalité ne fut pas tout à fait à la hauteur de nos attentes, mais cela n'empêche pas les artistes de continuer de rêver sur ce que pourrait être notre futur. Alors, quelles merveilles nous attendent ces prochaines années ? Quels mondes se construisent dans les esprits des peintres, des photographes, des vidéastes, des plasticiens, des performeurs ? L'Institut du Monde Arabe a invité, du 23 avril au 27 octobre 2024, 17 artistes contemporains issus du monde arabe ou de sa diaspora, pour explorer les nombreuses possibilités de ce futur inconnu. L'exposition Arabofuturs met à l'honneur de jeunes créateurs tournés vers l'avenir. Projets de science-fiction ou prédictions basées sur le présent, ces artistes inventent et créent des futurs possibles, autour de thèmes variés. Modernités, écologie, mondialisation et migration de populations, identités plurielles... Les grands sujets de discussion d'aujourd'hui pourraient définir les mondes de demain. En questionnant l'avenir, ces artistes remettent aussi en cause les sociétés actuelles, leurs abus, leurs injustices, leur pérennité. Ces œuvres prophétiques se transforment en miroir, où chacun est libre de voir ses qualités et ses défauts, et, peut-être, de se redéfinir. Dystopie ou avenir radieux, histoires probables ou rêves loufoques, venez découvrir ces Arabofuturs, exposés à l'IMA.
Poétique, onirique, surprenante : avec sa nouvelle exposition gratuite, l'Espace Monte-Cristo compte bien réveiller notre cœur d'enfant. Découvrez Les mondes imaginaires du 13 avril au 15 décembre 2024. Entrez dans cette exposition, comme si vous entriez dans un conte de fées ou une fable... L'Espace Monte-Cristo, à Paris, nous propose une nouvelle aventure artistique, avec Les mondes imaginaires. Cette exposition gratuite, à voir du 13 avril au 15 décembre 2024, nous entraîne dans les univers poétiques, oniriques et mystérieux de près d'une trentaine d'artistes contemporains. Les sculpteurs français et internationaux ont imaginé des mondes magiques, exotiques, ésotériques, des mondes qui reflètent nos sociétés. À travers leurs œuvres, les artistes s'interrogent sur notre futur, donnant vie à leurs espoirs et à leurs craintes. Plus de 50 sculptures sont mises en scène pour raconter une histoire magique. Forêt enchantée et pleine de créatures énigmatiques, plage idyllique et ses palmiers colorés, ville mystérieuse, cabinet de curiosités... Ces différents univers se suivent comme les chapitres d'un roman, et l'on passe d'un monde à l'autre sous le regard des créations originales des artistes tels que Françoise Pétrovitch, Eva Jospin, Tadashi Kawamata, Andrea Bowers, Lorenz Estermann, Agnès Varda... Pour cette exposition, l'Espace Monte-Cristo a donné carte blanche à Jean-François Fourtou. L'artiste nous dévoile son installation immersive, fluorescente et mouvante : découvrez un monde lointain, une dimension parallèle à la nôtre, dans laquelle l'humanité a fusionné avec la nature, donnant naissance à des êtres hybrides et surprenants. L'exposition Les mondes imaginaires nous promet donc un voyage merveilleux et insolite, aux côtés d'artistes contemporains de renom. Une épopée poétique, qui interroge nos pratiques, notre humanité, notre futur, à travers des sculptures fascinantes. À voir sans attendre !
Le Musée Carnavalet consacre une exposition à l'histoire de la fontaine des Innocents, intitulée De pierre et d’eau, du 24 avril au 25 août 2024. La Fontaine des Innocents sous toutes les coutures ! Voilà ce que vous invite à découvrir le Musée Carnavalet à travers sa dernière exposition, De pierre et d'eau : Histoires de la Fontaine des Innocents, du 24 avril au 25 août 2024. Cette exposition vous propose plus précisément une immersion inédite dans l'histoire de l'un des joyaux de la Renaissance française, la Fontaine des Innocents, ornée des œuvres du sculpteur Jean Goujon. Située dans le quartier dynamique des Halles, cette fontaine ne se contente pas de structurer l'espace urbain ; elle raconte aussi des siècles d'histoire parisienne. La récente restauration de la fontaine, entre 2022 et 2024, offre une occasion exceptionnelle de découvrir de près les cinq reliefs de nymphes, chefs-d'œuvre de Jean Goujon, temporairement retirés du monument pour l'occasion. Le Musée Carnavalet a conçu cette exposition pour redonner vie à ce monument emblématique, en adoptant une approche audacieuse mêlant l'art et la technologie. Les visiteurs sont invités à explorer les complexités et les défis de la restauration des œuvres d'art, un processus fascinant rarement mis en lumière. L'exposition ne se limite pas à ces reliefs. Elle propose un parcours riche d'une centaine d'œuvres de différentes typologies, illustrant les multiples évolutions et transformations de la Fontaine des Innocents au fil des siècles. Au-delà de la redécouverte de ce monument, c'est aussi une occasion d'honorer Jean Goujon, un artiste majeur de son époque, aujourd'hui méconnu. L'influence de Goujon sur ses contemporains et sur les générations suivantes est également mise en avant, tout comme la place de la Fontaine des Innocents dans la culture populaire et son rôle emblématique dans l'histoire de Paris. Cette exposition se présente donc comme un véritable voyage à travers le temps, où l'art et l'histoire se rencontrent pour raconter l'histoire de Paris et de l'un de ses monuments les plus remarquables. On passe par le Musée Carnavalet, les amis ? Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Le musée du Louvre passe à l'heure des Jeux olympiques, avec une exposition inédite et sportive. Du 24 avril au 16 septembre 2024, découvrez "L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique". Le musée du Louvre se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Du 24 avril au 16 septembre 2024, nous avons rendez-vous dans la galerie Richelieu, pour découvrir une grande exposition consacrée au sport dans les arts. Ne manquez pas l'exposition L'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique. En France, on connaît bien Pierre de Coubertin, considéré comme étant le père des Jeux olympiques modernes. Mais la renaissance de cette immense compétition sportive est en réalité due au travail de différents chercheurs et artistes. Le musée du Louvre nous dévoile les secrets de ces Jeux modernes, à travers différents tableaux, dessins, sculptures, œuvres d'orfèvrerie... Au XIXe siècle, des fouilles archéologiques en Grèce mettent à jour des trésors exceptionnels, relançant la passion occidentale pour cette société antique. Archéologie, étude des langues, Histoire et art : toutes ces disciplines se retrouvent mêlées dans cette actualité qui inspire les chercheurs comme les artistes. Au même moment, les tensions et les conflits en Europe poussent les gouvernements à promouvoir l'activité physique et le sport chez les jeunes, tout en créant des liens et des interactions culturelles entre les pays. C'est dans ce contexte particulier que Pierre de Coubertin décide de réinventer les Jeux olympiques. Historien, militant pour la pratique du sport dans les écoles, le célèbre baron se pose en rénovateur des Jeux. Pour redonner vie à cette compétition, il s'appuie sur le travail des universitaires, trouvant son inspiration dans les sports antiques, qui se dévoilent au fil des fouilles et des trouvailles archéologiques. L'exposition du musée du Louvre met également en avant l'autre architecte de ces Jeux, moins connu, mais dont le rôle a été essentiel. Emile Gilliéron père était un dessinateur d'origine suisse, vivant en Grèce. Artiste officiel des JO de 1896 et 1906, il créa de nombreuses images d'inspiration antique pour promouvoir ces Jeux. On lui doit notamment l'invention des trophées des vainqueurs. Les différentes œuvres du parcours montrent ainsi comment l'art, la science et l'Histoire ont permis la renaissance de ces Jeux olympiques. Ces disciplines se mélangent pour donner naissance à un événement nouveau, basé sur une compétition très anciennes. Cette alliance se retrouve dans de nombreuses œuvres, dont la première coupe olympique, dessinée par un universitaire et créée par un orfèvre français. Cette pièce exceptionnelle fut conçue pour le vainqueur de la course de Marathon, inventée pour les Jeux d'Athènes de 1896. Ancien et moderne, sport, art et sciences : l'exposition du Louvre nous entraîne dans un formidable périple, à la découverte de l'Olympisme.
Montez dans la DeLorean, la Monnaie de Paris nous fait remonter le temps jusqu'aux années 1970 ! L'institution nous propose une soirée festive et ludique autour de l'exposition Insert Coin le 24 avril 2024. C'était l'époque des pattes d'eph', des robes fleuries, de Queen, Abba, Michael Jackson, Serge Lama, des Bee Gees et de David Bowie, c'était l'époque des boules disco, de Pong et d'Atari... C'étaient les années 1970 ! Une période que les moins de 20 ans n'ont pas connue, mais qu'ils peuvent découvrir à la Monnaie de Paris. L'institution organise une soirée exceptionnelle, festive et ludique, le mercredi 24 avril 2024. En marge de son exposition Insert Coin, qui s'intéresse aux machines de jeux et salles d'arcade, le musée propose une nocturne à thème, ouverte à tous. Dans un décor immersif, qui nous plonge dans un café des années 1970, la Monnaie de Paris nous invite à jouer et à explorer cette décennie si spéciale, qui a révolutionné le monde du jeu. Aux côtés des commissaires d'exposition et des étudiants de la XP School, découvrez toutes les particularités culturelles de ces années "flower power". Et bien sûr, vous pouvez défier vos amis ou vos proches sur les différents flippers, jeux d'arcade ou jeux de café mis à disposition dans l'exposition. Le disco et le mouvement hippie, ce n'est pas votre tasse de Tang ? Vous préférez l'ambiance électro ou punk-rock des années 80 ? Bonne nouvelle : la Monnaie de Paris organise une seconde nocturne ludique autour du thème - vous l'aurez deviné - des années 1980 ! Sortez vos meilleures vestes à imprimés géométriques, et rendez-vous à la Monnaie de Paris pour cette soirée qui s'annonce inoubliable !
Sortez les agendas, voici un rendez-vous à ne pas manquer : le 28 avril 2024 à 13h, le musée d'Orsay organise une battle de waacking, avec l'artiste Josépha Madoki. Au musée d'Orsay, l'art résonne et nous fait chavirer dans un tourbillon d'émotions et de sensations. La salle des fêtes du musée accueille un grand spectacle ce dimanche 28 avril 2024, une représentation unique et inédite à ne manquer sous aucun prétexte. L'artiste Josépha Madoki, chorégraphe et spécialiste des danses urbaines nous invite à une battle de waacking ! Ces mots vous sont étrangers ? Laissez-nous vous expliquer... Cette compétition de danse rassemble les meilleurs artistes internationaux, les plus grandes stars de waacking du monde entier, au sein du musée d'Orsay, pour un affrontement épique au rythme des musiques du hip-hop, de l'électro, de la funk ou du disco. Le waacking est un art venu des Etats-Unis, qui s'apparente au voguing. Né dans les communautés LGBTQIA+, ce style de danse est inspiré des divas hollywoodiennes des années folles. Le but est de bouger les bras au rythme de la musique, notamment en les faisant passer au-dessus et autour de la tête. Josépha Madoki est l'une des plus grandes représentantes de ce genre en France. Dans la majestueuse salle des fêtes du musée d'Orsay, la danseuse et ses concurrents internationaux devraient donc nous en mettre plein les yeux, et nous donner, à nous aussi, envie de danser ! Un événement festif et 100% feel-good, à vivre au printemps dans le musée parisien. Réservez vite votre place.
Le 21 avril, La Bellevilloise accueille le battle de danse Funk is not a Joke 2024 ! Présenté par Locking4life et Lady Rocks, Le Funk Is Not A Joke est la célébration du Funk Style ! Lack of Lock est une saison où des danseurs de Locking de la nouvelle génération s'affrontent chaque mois pour dynamiser la scène Locking et pousser la nouvelle génération à se surpasser. Le Funk is not a Joke sera l'étape ultime de cette année, avec les 7 meilleurs danseurs de la saison s'affrontant pour obtenir le titre d'espoir du Locking et du Top Rock Français 2024. Infos réservations : - Par e-mail : com@labellevilloise.com - Par téléphone : 01 53 27 35 79
Découvrez les us et coutumes gastronomiques de la France du Grand siècle, avec l'exposition A la table des mousquetaires, à découvrir au château de Vincennes du 24 avril au 10 juillet 2024. Films et romans nous laissent penser que la vie des mousquetaires était épique et romanesque. Ces histoires inventées nous donnent parfois une fausse idée du quotidien des militaires du roi, et des personnes ayant vécu à cette période. Pour en savoir plus sur le Grand Siècle, et plus précisément sur l'art de la table, et l'art de l'habillement au XVIIe siècle, les mousquetaires nous invitent à leur table, pour parler Histoire et coutumes. Le château de Vincennes présente une exposition inédite, qui promet d'être passionnante. Du 24 avril au 10 juillet 2024, découvrez A la table des mousquetaires. L'ancienne demeure royale a pu accueillir, par le passé, le véritable D'Artagnan, chargé d'escorter et de protéger Nicolas Fouquet, ou le jeune Louis XIV. C'est dans son passé que le monument a trouvé l'inspiration pour cette exposition. Dans une scénographie théâtralisée, on découvre cinq tables, et une douzaine de costumes d'époque, notamment reconstitués grâce à différents tableaux. Chaque table nous dévoile les habitudes gastronomiques et sociales de la société du XVIIe siècle. Table d'auberge, dîner gascon des mousquetaires, table royale... Chaque partie a ses spécificités, ses mets, ses ustensiles plus ou moins précieux, en fonction de ceux qui sont conviés à manger. Les travailleurs qui déjeunent à l'auberge n'utiliseront pas la même argenterie, ne dégusteront pas les mêmes vins que Milady ! La nourriture, les costumes permettent de raconter autrement cette page de l'Histoire de France, de mieux connaître les différentes classes sociales. Une exposition qui devrait passionner les amateurs d'Histoire et de gastronomie française !