Un soir, Liam arrive chez Hélène et Danny sans prévenir. Il est couvert de sang.
Il parle d’un «accident» et du «jeune gars blessé» qu’il aurait pris dans ses
bras. Le couple cherche à en savoir plus mais le récit de Liam est de plus en
plus confus… En empruntant aux codes du thriller et de la comédie noire,
Orphelins interroge avec finesse la violence générée par la cellule familiale.
Et si le danger était de croire que l’amour doit être plus fort que tout? Un
spectacle qui nous prend aux tripes, et qui ne nous laisse pas une seconde de
répit.
Un spectacle de Dennis Kelly mis en scène par Elsa Chêne.
Satellites
Mer 6.12 de 18h–19h30 : apéro-philo “La famille” proposé par Picardie Laïque.
Exhibition
Jean-François Octave, une vie (ne rien oublier)
30november 2022
-28juni 2023
Boulevard Solvay 22, 6000 Charleroi, Hainaut, Belgium
Description
WORK IN PROGRESS - RÉSIDENCE VIRTUELLE
Nouvelle résidence au BPS22 : la "résidence virtuelle" de Jean-François Octave, sur le site internet du musée ! Infatigable auteur, depuis des décennies, de fanzines, journaux intimes et autres diaries électroniques, croisant diverses influences et techniques, JFO squatte désormais le site du musée pour y livrer ses archives et travaux in progress.
Pour Jean-François Octave, la vie est un répertoire permanent où puiser plutôt que s’épuiser, où s’emparer des choses plutôt que se laisser désemparer par son flux. Depuis ses agendas de l’adolescence (début 70') aux petits carnets de notes à spirales, en passant par des cahiers plus conséquents, mêlant textes et images (peintures, dessins, photos, collages, etc.) où les lettres elles-mêmes sont aussi et avant tout des dessins, JFO compile ses chroniques quotidiennes.
Désormais (depuis début 2000’), ce sont des dessins et écritures digitaux qui occupent les pages virtuelles d’un diary électronique, à la publication hebdomadaire régulière. Totalisant à ce jour plus de 5000 pages pour plus de 680 numéros, un nombre incalculable d’essais-erreurs et quelques gigabits de mémoire, ce journal personnel redéploie, en les associant, les travaux anciens et les préoccupations récurrentes de l’artiste. "Entre journal intime, révélations people, réflexions socio-politiques et poétiques, Jean-François Octave, adepte de l'appropriationnisme et fan de Jean-Luc Godard, tisse un récit aux allures d’instantanés, aux frontières du Pop Art, du concept et de la littérature, en mêlant photo, peinture et d’autres techniques." écrit Daniel Vander Gucht, professeur de sociologie (ULB) et fondateur des éditions La Lettre volée.
Éternel enfant de son époque, il a toujours accompagné les (épi)phénomènes du moment présent, quels qu’ils soient. Le punk l’a conforté dans une de ses intuitions premières : il n’y a pas de hiérarchie entre les choses ; tout peut se valoir ; tout peut mériter son attention ; tout peut faire l’objet d’associations. Les historiettes personnelles se mêlent alors à la grande Histoire ; les clichés les plus éculés de la pop culture aux chefs-d’œuvre de l’art ; les grands personnages du monde, toutes époques confondues, avec des anonymes croisés lors de pérégrinations à travers le monde ; les émotions personnelles aux réflexions abstraites ; la Littérature et toutes les paralittératures ; le grand Style et l’écriture normalisée ; etc.
Nouvelle résidence au BPS22 : la "résidence virtuelle" de Jean-François Octave, sur le site internet du musée ! Infatigable auteur, depuis des décennies, de fanzines, journaux intimes et autres diaries électroniques, croisant diverses influences et techniques, JFO squatte désormais le site du musée pour y livrer ses archives et travaux in progress.
Pour Jean-François Octave, la vie est un répertoire permanent où puiser plutôt que s’épuiser, où s’emparer des choses plutôt que se laisser désemparer par son flux. Depuis ses agendas de l’adolescence (début 70') aux petits carnets de notes à spirales, en passant par des cahiers plus conséquents, mêlant textes et images (peintures, dessins, photos, collages, etc.) où les lettres elles-mêmes sont aussi et avant tout des dessins, JFO compile ses chroniques quotidiennes.
Désormais (depuis début 2000’), ce sont des dessins et écritures digitaux qui occupent les pages virtuelles d’un diary électronique, à la publication hebdomadaire régulière. Totalisant à ce jour plus de 5000 pages pour plus de 680 numéros, un nombre incalculable d’essais-erreurs et quelques gigabits de mémoire, ce journal personnel redéploie, en les associant, les travaux anciens et les préoccupations récurrentes de l’artiste. "Entre journal intime, révélations people, réflexions socio-politiques et poétiques, Jean-François Octave, adepte de l'appropriationnisme et fan de Jean-Luc Godard, tisse un récit aux allures d’instantanés, aux frontières du Pop Art, du concept et de la littérature, en mêlant photo, peinture et d’autres techniques." écrit Daniel Vander Gucht, professeur de sociologie (ULB) et fondateur des éditions La Lettre volée.
Éternel enfant de son époque, il a toujours accompagné les (épi)phénomènes du moment présent, quels qu’ils soient. Le punk l’a conforté dans une de ses intuitions premières : il n’y a pas de hiérarchie entre les choses ; tout peut se valoir ; tout peut mériter son attention ; tout peut faire l’objet d’associations. Les historiettes personnelles se mêlent alors à la grande Histoire ; les clichés les plus éculés de la pop culture aux chefs-d’œuvre de l’art ; les grands personnages du monde, toutes époques confondues, avec des anonymes croisés lors de pérégrinations à travers le monde ; les émotions personnelles aux réflexions abstraites ; la Littérature et toutes les paralittératures ; le grand Style et l’écriture normalisée ; etc.